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Expression studies of key adipogenic transcriptional factors reveal that the anti-adipogenic properties of retinol in primary cultured human preadipocytes are due to retinol per se
Ist Teil von
International journal of cosmetic science, 2001-10, Vol.23 (5), p.299-308
Ort / Verlag
Oxford, UK: Blackwell Science, Ltd
Erscheinungsjahr
2001
Quelle
Wiley Online Library
Beschreibungen/Notizen
Synopsis
The aim of this study was to investigate the mechanism(s) underlying the antiadipogenic effect of retinol that we recently reported in primary cultured human preadipocytes.
Exposure of human preadipocytes to the potent alcohol dehydrogenase inhibitor, 4‐methyl‐pyrazole, failed to alter the antiadipogenic effect of retinol (3.5 µm), suggesting that the latter effect is due to retinol per se rather than to its oxidation product, retinoic acid (RA).
Moreover, retinol, in contrast to what is generally observed with RA, did not alter the expression of the major adipogenic transcriptional factors PPARγ and C/EBPα but, like RA, reduced transcription of an adipospecific gene controlled in part by C/EBP, the ob gene.
These results indicate that retinol per se inhibits the adipo‐conversion of human preadipocytes and suggest that the mechanisms of this antiadipogenic action implies at least in part inhibition of C/EBP transcriptional activity.
Résumé
Sur des cultures de préadipocytes sous‐cutanés humains, nous avons récemment décrit qu' à faible concentration (3.5 µm), le rétinol est un puissant inhibiteur de la différenciation adipocytaire. Le but de la présente étude est d'en rechercher les mécanismes.
En présence de 4‐méthylpyrazole, un inhibiteur de l'alcool deshydrogénase, système enzymatique majeur de l'oxidation du rétinol en rétinoïdes, l'effet antiadipogénique du rétinol est totalement maintenu. De plus et contrairement à ce qui est classiquement observé avec l'acide rétinoïque, l'expression de deux facteurs transcriptionnels majeurs contrôlant la différenciation adipocytaire, C/EBPα et PPARγ, n'est pas altérée par le rétinol. Enfin, l'expression d'un gène adipospécifique controlé par les protéines C/EBP et codant la leptine, le gène ob, est très fortement réprimée par le rétinol.
Ces résultats montrent que l'effet antiadipogénique puissant du rétinol sur les préadipocytes sous‐cutanés humains n'est pas du à sa transformation en acide rétinoïque et suggèrent que le mécanisme de cet effet implique au moins en partie une altération de l'activité transcriptionnelle des protéines C/EBP.