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Regular physical activity (PA) in young needs to be promoted to prevent obesity and subsequent diabetes. Influences of parental PA on adolescents' activity level have been studied with discordant results and the effect of socioeconomic status (SES) on these relationships is not clarified.
Cross-sectional population-based survey of about 3000 12-year old French students and their parents. Familial associations were assessed with logistic regression models taking into account SES and children's and parents' corpulence. Sport involvement and sedentary behaviors were assessed by standardized questionnaires filled out separately by children and parents, the latter also reporting their educational data and family income tax.
Participation in structured PA outside school was higher for boys (74%) than for girls (58%, p < 10
-5) and a high sedentary behavior (watching television, playing computer/video games and reading ≥ 2h/day) was observed in one-third of the sample, both in boys and in girls. Children were more likely to participate in structured PA outside school when both parents practiced sport as compared to neither parent practicing it, with an odd ratio OR (95%CI) of 1.97 (1.4-2.8) for boys and 1.56 (1.2-2.1) for girls. Familial associations of inactivity were significant for boys only. A greater percentage of adolescents had a high level of sedentary behavior when both parents versus no parents watched television > 2h/day (OR 1.95 (1.52.6)). Parent-child physical activity relationships were not modified by the family SES or the children's or parents' weight status.
Parental involvement in sport is an important correlate of a young adolescent's participation in structured PA outside school, whatever the family SES or corpulence of the family members.
L'activité physique des parents et celle de leurs enfants sont associées indépendamment du statut socioéconomique
Dans une perspective de prévention de l'obésité et du diabète, la promotion d'une activité physique (AP) régulière chez les jeunes est essentielle. L'influence de l'AP des parents sur le niveau d'AP des adolescents a fait l'objet d'études dont les résultats sont contradictoires. Par ailleurs, l'effet du statut socioéconomique (SSE) sur ces relations reste à déterminer.
Enquête transversale en population portant sur près de 3 000 élèves français âgés de 12 ans et leurs parents. Les associations familiales concernant l'AP ont été étudiées par régression logistique en tenant compte du SSE et du statut pondéral des enfants et des parents. La pratique sportive et les comportements sédentaires ont été évalués avec des questionnaires standardisés remplis séparément par les enfants et les parents. Ces derniers ont également rapporté leur niveau d'études et d'imposition.
La participation à des AP structurées en dehors du collège est plus fréquente chez les garçons (74 %) que chez les filles (58 %, p < 10
-5) et un niveau de sédentarité élevé (≥ 2h/j de télévision, ordinateur/jeux vidéo et lecture) est noté dans un tiers de l'échantillon, dans les deux sexes. Les enfants dont les deux parents font du sport participent plus volontiers à des AP structurées en dehors du collège en comparaison avec ceux dont aucun des parents ne pratique de sport (OR(95 %CI): 1.97 (1.4-2.8) chez les garçons et 1.56 (1.2-2.1) chez les filles). Chez les garçons, un niveau de sédentarité élevé est plus souvent observé lorsque les deux parents regardent la télévision plus de 2h/j que lorsque aucun des deux ne le fait (OR 1.95 (1.5-2.6)). Les associations parents-enfants concernant l'AP ne sont pas modifiées selon le SSE familial ou le statut pondéral des enfants ou des parents.
La pratique sportive des parents est associée favorablement à la participation d'un jeune adolescent à des AP structurées en dehors du collège, quel que soit le SSE de la famille ou le statut pondéral de ses membres.