Details

Autor(en) / Beteiligte

• Hiebel, Nina
• Zimmer, Hubert D.
• Neath, Ian
• Surprenant, Aimée M
• Saint-Aubin, Jean
• Pexman, Penny M

Titel

Individual Differences in Working Memory Capacity and Attentional Control

Ist Teil von

• Canadian journal of experimental psychology, 2015-03, Vol.69 (1), p.17-27

Ort / Verlag

Canada: Educational Publishing Foundation

Erscheinungsjahr

2015

Link zum Volltext

Quelle

PsycARTICLES (APA)

Beschreibungen/Notizen

• Visual working memory (WM) has a very limited online capacity making it considerably important to control the gating of encoding into WM. Recent studies have suggested that attention control is of importance in doing so, especially the time needed to disengage. However, the disengagement mechanism operates on a later stage of processing after the initial selection of information has already been initiated. We assume that individual differences in WM capacity are also driven by individual variations in the voluntary engagement of attention. In 2 experiments we investigated whether individuals with high- and low-WM capacity differ in the efficiency and speed of this attention control process. We realised different versions of the task in which different amounts of attention control were necessary, a more automatically triggered allocation of attention and a voluntary initiation of attention engagement, respectively. We further manipulated the time course to look for differences in the latency of attention control. The results revealed that participants with low-WM capacity were less effective to exhibit voluntary attention control processes and they were also slower in doing so compared with high-WM capacity individuals. However, this effect seems to be partly moderated by the ability to update the current task set. If the trial structure did not require task set updating smaller individual differences involving WM capacity could be found. La mémoire de travail (MT) visuelle dispose de capacités très limitées en ligne. Il devient alors très important de contrôler l'encodage sélectif dans la MT. Les récentes études ont montré que le contrôle de l'attention joue un rôle important, particulièrement au niveau du temps relié au désengagement. Or, le mécanisme de désengagement se produit à un stade ultérieur du traitement, c'est-à-dire une fois que la première sélection de l'information a été initiée. Nous émettons l'hypothèse que les différences individuelles au niveau de la capacité de la MT sont également le résultat de variations individuelles au niveau de l'engagement volontaire de l'attention. À l'aide de deux expériences, nous avons cherché à savoir si les individus dotés d'une faible capacité de MT et d'une forte capacité de MT divergeaient en ce qui a trait à l'efficacité et à la vitesse de ce procédé de contrôle de l'attention. Nous avons réalisé différentes versions de la tâche selon lesquelles différents niveaux de contrôle d'attention étaient requis, une attribution de l'attention davantage déclenchée de manière automatique et une initiation volontaire de l'engagement de l'attention, respectivement. Nous avons ensuite manipulé la durée afin de détecter des écarts au niveau du temps de latence du contrôle d'attention. Les résultats ont montré que les participants dotés d'une faible capacité de MT étaient moins efficaces à afficher les procédés de contrôle d'attention volontaire et le faisaient plus lentement comparativement aux individus dotés de forte capacité de MT. Cet effet semble toutefois partiellement modéré par la capacité de mise à jour de l'ensemble de tâches actuel. Si la structure de l'essai ne nécessitait pas la mise à jour de l'ensemble de tâches, des écarts individuels plus faibles impliquant la capacité de MT pourraient être détectés.