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Home Versus Host — Identifying With Either, Both, or Neither?: The Relationship between Dual Cultural Identities and Intercultural Effectiveness
Ist Teil von
International journal of cross cultural management : CCM, 2010-04, Vol.10 (1), p.55-76
Ort / Verlag
London, England: SAGE Publications
Erscheinungsjahr
2010
Link zum Volltext
Quelle
Alma/SFX Local Collection
Beschreibungen/Notizen
The present study examines the relationship between dual cultural identities and intercultural effectiveness. Upon the evidence of the regulating effects of cultural identities on individuals’ cognitive, affective, and behavioral responses to cultural stimuli, we argue that cultural identities cast non-negligible influence on intercultural effectiveness. Focusing on the distinction between identity to one’s cultural origin and identity to host culture, we hypothesize that individuals high on both identities are more effective than those low on both of them, followed by those high on one of the identities but low on the other. We apply polynomial regression and the response surface method to data collected from managers and workers with international experience (n = 82), in order to better capture the relationship between dual cultural identities and various aspects of intercultural effectiveness. The hypotheses are generally supported. Theoretical and practical implications for further capitalizing on such knowledge are discussed.
Pays d’origine et pays d’accueil — s’identifier à l’un ou l’autre, aux deux ou à aucun des deux ? La relation entre la double identité culturelle et l’efficacité interculturelle (Yih-teen Lee)
Cette étude examine la relation entre la double identité culturelle et l’efficacité interculturelle. En nous appuyant sur les preuves des effets régulateurs de l’identité culturelle sur les réponses cognitives, affectives et comportementales aux stimuli culturels, nous défendons la thèse que l’identité culturelle a une influence non négligeable sur l’efficacité interculturelle. Nous axant sur la distinction entre l’identité culture d’origine et l’identité culturelle d’accueil, nous émettons comme hypothèse que les individus ayant un score élevé sur leurs deux identités sont plus efficaces que ceux dont le score est faible sur leurs deux identités, suivi par ceux ayant un score élevé sur l’une et faible sur l’autre. Nous utilisons la régression polynomiale et la méthode des surfaces de réponse aux données recueillies auprès de managers et d’employés ayant une expérience internationale (n = 82), afin de mieux saisir la relation entre la double identité culturelle et divers aspects de l’efficacité interculturelle. Les hypothèses s’avèrent globalement justes. Les implications théoriques et pratiques qu’il y aurait à capitaliser plus encore sur cette connaissance sont ensuite abordées.