Sie befinden Sich nicht im Netzwerk der Universität Paderborn. Der Zugriff auf elektronische Ressourcen ist gegebenenfalls nur via VPN oder Shibboleth (DFN-AAI) möglich. mehr Informationen...
Ergebnis 11 von 24
Archaeology in Oceania, 2024-04, Vol.59 (1), p.125-137
2024
Volltextzugriff (PDF)

Details

Autor(en) / Beteiligte
Titel
First Nations pre‐LGM ochre processing in Parramatta, NSW, Australia
Ist Teil von
  • Archaeology in Oceania, 2024-04, Vol.59 (1), p.125-137
Ort / Verlag
Richmond: Wiley Subscription Services, Inc
Erscheinungsjahr
2024
Quelle
Wiley-Blackwell Journals
Beschreibungen/Notizen
  • ABSTRACT Previous archaeological evidence and published analysis has suggested that ochre was first used in the Sydney Basin around 9000 years ago, and that the Parramatta region may not have been occupied by First Nations peoples before ∼14 ka. We present new evidence which firmly places both events before the Last Glacial Maximum (LGM). Multiple ochre fragments, two with microscopically visible evidence of anthropogenic grinding, were recovered from the George Street Gatehouse site within the Parramatta Sand Body (PSB) at Parramatta. The ground ochre was associated with a pit feature buried within the PSB and dated by optically stimulated luminescence (OSL) between ∼35 and 30 ka. This find is the earliest evidence for ochre processing in the Sydney Basin by some 25000 years. A previous model for the region had proposed that occupation prior to and during the LGM was focussed on the Hawkesbury‐Nepean River corridor as a refugium, with only equivocal evidence of occupation prior to ∼14 ka at Parramatta (Williams et al., 2021). We propose that the Parramatta River could also have acted as a refugium for people moving through and occupying the now‐drowned Pleistocene coastal zone; and that those people used ochre in their symbolic expressions. RÉSUMÉ Des preuves archéologiques ainsi que des analyses publiées par le passé, suggéraient que l'ocre avait été utilisée pour la première fois dans le bassin de Sydney il y a environ 9000 ans, et que la région de Parramatta n'avait peut‐être pas été occupée par les peuples des Premières Nations avant environ 14000 ans. Nous présentons de nouvelles preuves qui placent fermement ces deux événements avant le Dernier Maximum Glaciaire (DMG). Plusieurs fragments d'ocre, dont deux présentant des preuves microscopiques apparentes de broyage anthropique, ont été récupérés sur le site de George Street Gatehouse au sein du dépôt de sable de Parramatta. L'ocre moulue était associée à une fosse enfouie dans le sable qui a été datée par luminescence optiquement stimulée entre ∼35000 et 30000 ans. Cette découverte constitue la première preuve de la transformation de l'ocre dans le bassin de Sydney, datant d'environ 25000 ans. Un précédent modèle pour la région avait suggéré que l'occupation avant et pendant le maximum de la dernière période glaciaire se concentrait autour du couloir fluvial de la rivière Hawkesbury‐Nepean, notamment pour ses qualités de refuge, avec seulement quelques preuves équivoques d'occupation avant ∼14000 ans à Parramatta (Williams et al., 2021). Nous proposons que le fleuve Parramatta aurait également pu servir de refuge aux personnes traversant et occupant la zone côtière du Pléistocène, aujourd'hui submergée; et que ces gens utilisaient l'ocre dans leurs expressions symboliques.

Weiterführende Literatur

Empfehlungen zum selben Thema automatisch vorgeschlagen von bX