Details

Autor(en) / Beteiligte

• Felix Hüfner
• Isabell Koske
• Christina Kolerus

Titel

Selected Aspects of Household Savings in Germany: Evidence from Micro-Data

Ort / Verlag

OECD Publishing

Erscheinungsjahr

2012

Quelle

OECD iLibrary

Beschreibungen/Notizen

• This paper uses household level data from the German Socio-Economic Panel (GSOEP) over the period 1991 to 2008 to analyse the driving factors of movements in the German household savings rate. Specifically, it analyses the impact of the precautionary savings motive and the impact of the 2002 private pension reform (the so-called Riester reform) on households’ savings rate as these factors are among the most discussed in the German context. There is evidence for both factors at work: First, households with a more volatile income stream tend to save more and the extent to which they do depends on their (subjectively assessed) risk aversion. Second, the introduction of the Riester pension scheme in 2002 was associated with a general increase in the household savings rate, both for households that signed up for private pension contracts and for those that did not. This effect is not found for low-income households, thus confirming the findings of other studies. Ce document s’appuie sur des données recueillies auprès des ménages par le German Socio-Economic Panel (GSOEP) sur la période 1991-2008 afin d’analyser les déterminants des variations du taux d’épargne des ménages allemands. Il analyse en particulier l’impact du désir d’épargne de précaution et l'impact de la réforme des retraites privées de 2002 (« réforme Riester ») sur le taux d’épargne des ménages, ces facteurs étant parmi ceux qui présentent le plus d’intérêt dans le cas de l’Allemagne. Il apparaît que ces deux éléments jouent un rôle : En premier lieu, les ménages dont le revenu est plutôt irrégulier épargnent généralement plus et ce, en fonction de leur degré d’aversion au risque (évalué subjectivement). En second lieu, la mise en place du régime de retraite Riester en 2002 s’est accompagnée d’une hausse générale du taux d’épargne des ménages, aussi bien pour les signataires de contrats de retraite privés que pour les autres. Cet effet n’apparaît pas pour les ménages à faible revenu, ce qui confirme les résultats des autres études.