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Canadian journal of film studies, 2019-12, Vol.28 (2), p.65-80
2019

Details

Autor(en) / Beteiligte
Titel
THE “PERMEABLE I”/EYE: HYBRID SUBJECTIVITIES IN TRUE BLOOD
Ist Teil von
  • Canadian journal of film studies, 2019-12, Vol.28 (2), p.65-80
Ort / Verlag
University of Toronto Press
Erscheinungsjahr
2019
Link zum Volltext
Quelle
Alma/SFX Local Collection
Beschreibungen/Notizen
  • Dans True Blood, d’Alan Ball, la narration polyphonique contribue au processus d’intégration des vampires et autres espèces surnaturelles en présentant leur point de vue. Certes, la frontière entre l’humain et le non-humain est déjà brouillée par les échanges sanguins entre les personnages, mais c’est avant tout à travers l’hybridation des points de vue qu’apparaît cette perméabilité entre les espèces. L’auteure cherche à démontrer que l’utilisation du point du vue dans True Blood révèle la recherche d’un idéal posthumain, tout en présentant cet idéal comme illusoire en soulignant les limites de l’idéologie postraciale. Même si l’accent est porté sur la porosité des visions subjectives qui s’entremêlent, l’emploi de multiples points de vue suppose également un rejet de toute approche unique et englobante. Ainsi s’exprime un désir d’exposer toute la complexité de la perception de l’individu en surimposant plusieurs prismes à la fois afin de mieux souligner la dimension intersectionnelle du vécu de chacun. The polyphonic narrative of Alan Ball’s True Blood appears as a process of integration of vampires and other supernatural species, whose perspective is given. While exchange of blood already challenges the boundary between human and non-human char­acters, it is through the hybridization of viewpoint that this permeability is the most vividly portrayed. This article aims to show how the use of viewpoint in True Blood both promotes a posthuman ideal, whereby all species become one hybridized organism subsuming dif­ferences, and at the same time presents this ideal as an illusion, pointing to the limits of post-race ideology. Though subjectivities are portrayed as permeable, the preference for multiple viewpoints also implies a rejection of any unified perspective. It rather evinces a desire to convey the complexity of any individual perception, providing a multi-layered approach to draw a compelling picture of the intersectionality of human experience.

Weiterführende Literatur

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