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Études littéraires, 2005, Vol.36 (3), p.61-78
2005
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Details

Autor(en) / Beteiligte
Titel
L’idée fausse qui m’est nécessaire.: Alexandre Vialatte à l’école de Franz Kafka
Ist Teil von
  • Études littéraires, 2005, Vol.36 (3), p.61-78
Ort / Verlag
Département des littératures de l'Université Laval
Erscheinungsjahr
2005
Quelle
EZB Electronic Journals Library
Beschreibungen/Notizen
  • Alexandre Vialatte (1901-1971) a traduit presque toute l’oeuvre de Kafka en français tout en élaborant sa propre oeuvre littéraire. Celle-ci est pourtant loin de se situer dans la dépendance de celle de Kafka. Vialatte a en effet été non seulement le traducteur de Kafka mais aussi un critique avisé proposant plusieurs lectures successives qui sont à l’origine des grandes options de la critique actuelle. Les analogies entre les récits de Kafka et les romans de Vialatte restent souvent très vagues : inquiétante étrangeté, folie du classement, culpabilité sans faute, tandis que les emprunts intertextuels directs sont minces. On peut néanmoins suivre le fil qui conduit de Kafka à Vialatte dans La dame du Job et Le fidèle berger, romans du secret et de la consigne, dans La maison du joueurde flûte, parabole d’inspiration kafkaïenne, et dans Les fruits du Congo, le grand roman de 1951. On perçoit ainsi plus précisément ce que Vialatte appelle « l’idée fausse qui m’est nécessaire » en parlant de sa lecture personnelle de Kafka mise au service de sa propre création romanesque.
Sprache
Französisch
Identifikatoren
ISSN: 0014-214X
eISSN: 1708-9069
DOI: 10.7202/011531ar
Titel-ID: cdi_erudit_primary_011531ar
Format

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